Bon, ben, après plusieurs mois, on obtient enfin autre chose qu’une fin de non-recevoir. La vice-présidente vient d’annoncer en commission permanente que la piste de la prise en charge « serait à explorer dans le cadre d’un groupe de travail plus large sur la restauration scolaire ».
On ne l’espérait même plus, mais comme quoi, il ne faut désespérer de rien. Nous allons donc suivre avec attention ces travaux. Le règlement associé à la prise en charge de cette restauration pourrait ainsi évoluer en prenant en compte cette exception « frontalière ».
C’est dur, le métier de conseiller départemental frontalier… mais nous sommes un peu « darus », comme vous l’aurez compris : désenclavement, équité territoriale, dynamisme… on ne lâche rien.
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