Le blog de campagne http://ambert2021.net remplace http://ambert2015.net

Les urnes ont parlé :

Vous nous avez largement renouvelé votre confiance pour les 6 années à venir. Nous en sommes fiers et nous vous en sommes redevables.

Nous continuerons à vous informer comme nous l’avons fait dans le dernier mandat.

Aussi, ce blog http://ambert2015.net gardera la mémoire de ce mandat qui s’achève. Il est remplacé par :

http://ambert2021.net

Nous vous invitons à vous abonner à ce site pour nous suivre.

#apprentissage : le Département du Puy-de-Dôme recrute 6 apprentis.

#apprentissage : le Département du Puy-de-Dôme recrute 6 apprentis.
D’une durée de deux ans, à compter du mois de septembre 2021, ces contrats concernent le secteur des #routes :
🔹 les métiers de la mécanique (poids lourds, engins de travaux publics ou agricoles au parc technique départemental, situé à Clermont-Ferrand)
🔹 le domaine de l’entretien et exploitation routière (entretien des routes, conducteur d’engins, travaux publics, etc. dans l’un des 55 centres d’interventions routiers du #PuydeDome).

✅ Vous êtes intéressés pour postuler ?
👉 Adressez un CV et une lettre de motivation à :
Martine Refouvelet
Référente apprentis et stagiaires
📞 04 73 42 12 84
📧 martine.refouvelet@puy-de-dome.fr

Aide à domicile : rien ne va plus.

Nous le voyons ici depuis plusieurs années : le maintien à domicile est un enjeu majeur dans notre secteur et les services concernés éprouvent de plus en plus de difficultés à répondre à une demande grandissante ; Valérie Prunier au CLIC et moi même à l’ADMR le vivons au quotidien. Le journal en ligne Maire-info fait le point sur ce sujet particulièrement sensible.

source : Aide à domicile : rien ne va plus | Maire-Info, quotidien d’information destiné aux élus locaux

Aide à domicile : rien ne va plus

La pandémie n’a fait qu’aggraver les tensions dans un secteur en crise, alerte l’Union nationale de l’aide, des soins et des services aux domiciles (UNA) : toujours plus de ruptures de prise en charge pour les personnes en perte d’autonomie et une pénurie de personnel plus alarmante que jamais.

Par Emmanuelle Stroesser

L’UNA (1) étaye son constat par les résultats de l’enquête annuelle confiée à Opinion Way auprès des directeurs de services d’aide et de soins à domicile, structures non lucratives adhérentes (2). Pour la présidente de l’UNA, Marie-Reine Tillon, ces résultats arrivent à point nommé pour « objectiver »  ce que les associations observent dans une relative indifférence des pouvoirs publics.

Une demande sur cinq non prise en charge

Premier constat : une demande sur cinq ne peut être prise en charge complètement. Elle est soit réduite, soit reportée, soit refusée. Ces « ruptures de prise en charge », concrètement, cela veut dire « qu’on va réduire les passages du week-end, que des sorties d’hôpital ne seront pas accompagnées », illustre Marie-Reine Tillon. « Cela se reporte aussi sur les aidants qui se retrouvent parfois dans des situations dramatiques ». Elle fustige « ceux qui pensent que ce n’est pas grave, que ce sont des heures de ménage ». « Pas du tout ! Ca c’était dans les années 50 ! On n’est plus dans ce cadre là. Ce n’est pas du confort ni du superflu. » 

La fuite du personnel

Le manque de personnel est la principale raison pour expliquer l’impossibilité de répondre à toutes les demandes. Cela conduit au deuxième constat : la pénurie de personnel s’est encore aggravée avec la crise. Plus d’un quart des structures disent avoir refusé des prises en charge faute de personnel. Autre chiffre éloquent : en moyenne, 31 % des postes sont non pourvus, la proportion était de 22 % lors de la précédente enquête en 2019. Au quotidien, la crise sanitaire a accentué l’absentéisme du personnel (cas contact, personnel prioritaire). Mais ce qui inquiète aujourd’hui les directeurs, c’est l’effet « concurrence »  du Ségur de la Santé. La moitié des structures observent des départs d’aides soignantes (plus que d’infirmières) vers des EHPAD, des centres hospitaliers.  
Les conditions de travail, qui se détériorent, et les faibles rémunérations expliquent ce double phénomène. Pour l’UNA, la solution passe par une revalorisation des salaires et une réforme de la tarification des services, réclamée de longue date.

Lueurs d’espoir

De ce point de vue, l’annonce par la ministre chargée de l’Autonomie, Brigitte Bourguignon, du prochain agrément par l’État de l’avenant 43 à la convention collective de branche offre des « lueurs d’espoir ». Même s’il aura fallu attendre de longs mois, modère Marie-Reine Tillon. Elle « ouvre notamment la voie à une revalorisation salariale des intervenants à domicile de 13 à 15% en moyenne ». Elle est d’application à compter d’octobre 2021. Mais tout dépendra des moyens supplémentaires dont disposeront ou non les structures pour l’honorer. 

Mais sous certaines conditions

« L’avenant va s’imposer à toutes les structures de la branche, nous serons dans l’obligation de l’appliquer, que nous ayons ou pas le financement »  explique Marie-Reine Tillon, « ce qui revient à dire qu’il faut que les financeurs prennent leur responsabilité, sinon les structures à domicile seront encore plus en difficulté qu’elles ne l’étaient déjà ». « Clairement, c’est la mort assurée d’un certain nombre de services, avec les salariés à la rue et des familles et personnes vulnérables non accompagnées »  prévient-elle. Si le message est insistant, c’est que tout reste flou de ce côté-là. Qu’il s’agisse des conseils départementaux, principaux financeurs, ou des caisses sociales (CAF, CNAV) qui financent aussi des heures de prises en charge. Si la ministre « ne semble pas inquiète », l’UNA préférerait avoir « des assurances ».  La période électorale n’est peut-être pas le meilleur moment, ou au contraire… 

(1) L’UNA réunit 690 structures qui accompagnent à domicile des personnes et familles vulnérables par l’âge, le handicap ou la maladie longue durée. 20 % des adhérents de l’UNA sont des CCAS.
(2) Baromètre UNA AESIO MACIF CHORUM mené par OpinionWay. Étude auprès de 174 directeurs de structures du réseau UNA (un tiers des adhérents), complétée d’interviews du 11 janvier au 8 mars 2021.

Commémoration du 8 mai 1945 : en petits comités.

Habituellement les commémorations nombreuses sont autant de moments de rencontre et de convivialité dans chacune des communes du canton. Après l’hommage aux soldats disparus le verre de l’amitié permet d’échanger sur les dossiers en cours ou bien tout simplement de trinquer…

Ces derniers mois, la situation est plus compliquée, mais le plaisir de se retrouver reste très présent. Les occasions ne sont pas si nombreuses.

Nous avons honoré les trois invitations : A Arlanc, à Ambert puis à Champétières pour aujourd’hui. Demain ce sera Marsac en Livradois.

A noté les travaux réalisés pour restaurer le monument aux morts de Champétières, grâce à un partenariat avec l’association « Champétières, patrimoine, vie et culture » : actualites/un-appel-aux-dons-lance-pour-restaurer-le-monument-aux-morts-de-champetieres-puy-de-dome_13940199/ ; une réussite !